Montpellier Histoire Patrimoine
  • Patrimoine architectural
    • Hôtels particuliers
    • Folies / Châteaux
      • Le château de la Piscine
      • Château Bon et le parc de Fontcolombe.
    • Edifices religieux
      • La Croix du Peyrou
    • Bâtiments publics
      • La Tour de la Babote (1)
    • Architecture contemporaine
  • Montpelliérains célèbres
    • Marie de Montpellier, une femme au cœur des intrigues dynastiques
    • Monseigneur Charles-Joachim de Colbert de Croissy, Evêque de Montpellier de 1696 à 1738.
    • Claude-Charles Pierquin de Gembloux : le docteur qui parlait aux ouistitis.
    • Les Boch de Montpellier
  • Patrimoine culturel
    • Patrimoine artistique
      • La statue de Louis XVI à Montpellier
    • Traditions montpelliéraines
      • La foire aux ânes, le 2 novembre
      • La légende de la pistole volante de Saint-Jean-de-Védas
      • Galéjades boutonnicoles et humour de Montpellier
    • Petite histoire de Montpellier
      • Le sceau à la harpe de Guilhem VIII
      • Le saut en parachute de Sébastien Lenormand
      • La sorcière de Saint-Gély-du-Fesc
      • La pétanque, une histoire montpelliéraine !
    • Gastronomie montpelliéraines
  • Montpellier en images anciennes
  • Nos visites de groupe
Montpellier Histoire Patrimoine

Le blog des passionnés de l'histoire et du patrimoine de Montpellier

  • Patrimoine architectural
    • Hôtels particuliers
    • Folies / Châteaux
      • Le château de la Piscine
      • Château Bon et le parc de Fontcolombe.
    • Edifices religieux
      • La Croix du Peyrou
    • Bâtiments publics
      • La Tour de la Babote (1)
    • Architecture contemporaine
  • Montpelliérains célèbres
    • Marie de Montpellier, une femme au cœur des intrigues dynastiques
    • Monseigneur Charles-Joachim de Colbert de Croissy, Evêque de Montpellier de 1696 à 1738.
    • Claude-Charles Pierquin de Gembloux : le docteur qui parlait aux ouistitis.
    • Les Boch de Montpellier
  • Patrimoine culturel
    • Patrimoine artistique
      • La statue de Louis XVI à Montpellier
    • Traditions montpelliéraines
      • La foire aux ânes, le 2 novembre
      • La légende de la pistole volante de Saint-Jean-de-Védas
      • Galéjades boutonnicoles et humour de Montpellier
    • Petite histoire de Montpellier
      • Le sceau à la harpe de Guilhem VIII
      • Le saut en parachute de Sébastien Lenormand
      • La sorcière de Saint-Gély-du-Fesc
      • La pétanque, une histoire montpelliéraine !
    • Gastronomie montpelliéraines
  • Montpellier en images anciennes
  • Nos visites de groupe

Inscrivez-vous ici pour rester informé de nos actualités

Réflexions à deux jours des élections municipales

Par Fabrice Bertrand 26 juin 2020
Article rédigé par Fabrice Bertrand 26 juin 2020

Ce soir, alors que je m’apprêtais à travailler sur le dossier d’un domaine qui est aujourd’hui la proie de l’urbanisation galopante de Montpellier, je me suis au final laissé séduire par l’envie d’écrire un petit texte sur l’élection qui conduira dans deux jours une nouvelle municipalité à la tête de notre ville.

Cette réflexion part d’un rêve, ou plutôt d’un souvenir, celui de ma lointaine jeunesse où j’étais réellement fier de me dire montpelliérain… Et c’est avec ce beau souvenir que je vais débuter ce texte…

La fierté d’être montpelliérain

En tant que montpelliérain, né dans la clinique Saint-Roch au milieu des années 1970, je me rappelle d’une période pas si lointaine, où le nom de notre ville résonnait à travers la France entière, l’Europe et même les Etats-Unis. Oui, j’ai été fier d’être montpelliérain… d’être un habitant de cette ville « où le soleil ne se couchait jamais », et qui, lorsqu’on arrivait aux aéroports d’Amsterdam, de Londres ou même de Varsovie, s’affichait comme une « surdouée ». Même si aujourd’hui ces slogans publicitaires prêtent à rire, ils n’en marquent pas notre imaginaire de la ville actuelle. Dans les années 1990, Montpellier était universellement connue, et son aura était impressionnante. Son maire, Georges Frêche y était pour beaucoup. Nous pouvons tous en convenir. Il ne laissait personne indifférent. Partisans comme opposants lui reconnaissaient d’immenses capacités intellectuelles. Mieux que tout autre, il savait manier l’art de la communication, mais aussi celui de la politique. De plus, il avait su faire de Montpellier une ville qui pouvait apparaître comme un modèle de développement urbain, presque un laboratoire où s’élaboraient, en lien avec l’université, les plus pertinentes réflexions urbanistiques de France.

Montpellier n’était pas encore la 7ème ville de France – les statistiques nous en avons que peu à faire, d’ailleurs on oublie de préciser que l’aire urbaine de Montpellier, indice plus pertinent pour le géographe, la place au 15ème rang national – mais elle pouvait apparaître comme un exemple d’équilibre qui impulsait une dynamique à tout un territoire et à une région entière. Certes c’était vu avec les yeux des années 1980/1990, ceux d’une période qui découvrait une politique avant tout communicante. Depuis les temps ont bien changé. Enfin pas tant que ça quand on voit le nom du maire incrusté sur chaque support de communication municipal.

Vous le comprenez, je regrette cette période qui était celle où Georges Frêche qui avait su écouter le génial Raymond Dugrand, avait un vrai projet pour notre ville et son vaste arrière-pays. Montpellier c’était un projet de ville, une individualité qui offrait à la France un dynamisme saisissant. Je ne m’étendrais pas sur les réalisations d’Antigone de Ricardo Bofill, sur Malbosc, et sur les perspectives de développement de la ville jusqu’à la mer. Nous les connaissions tous, et c’était même une image de notre ville à l’extérieur.

Mais Montpellier c’était également un projet solidaire entre les territoires, où en tant que ville-centre, elle se devait d’être le moteur du soutien à l’économie de ce vaste territoire qui s’étendait de Carcassonne jusqu’à Nîmes et montait jusqu’à Mende, pour côtoyer la frontière espagnole… Oui, j’ai été fier d’être montpelliérain, très fier, même. Je le suis encore, soyez-en persuadés. Vous le savez tous d’ailleurs. Mais je le suis, on pourrait dire, avec beaucoup de nostalgies et beaucoup de regrets

Mais si j’étais fier c’était également parce que ce territoire jouait de solidarités avec les autres territoires, nouait des partenariats avec les autres territoires, notamment voisins. J’étais fier du projet de ville de Montpellier, de ce projet qui consistait à construire un avenir solidaire avec les citoyens. Cela passait par l’urbanisme, par la réflexion sur le social, sur le vivre ensemble. Je me rappelle des cours de Raymond Dugrand qui nous expliquait le projet qu’il avait su développer sur cette ville. Il nous racontait à l’envie, ce qu’il appelait les « tours de table avec les promoteurs », qui devaient pour décrocher les programmes d’aménagement faire les plus intéressantes offres à la municipalité. C’était un temps où les promoteurs n’imposaient comme aujourd’hui leurs volontés. Aujourd’hui, au regard de l’évolution de la société, je suis heureux de savoir que même Michaël Delafosse, qui a été nourri des cours de Raymond Dugrand, se rendent compte que ce projet de ville doit être réinventé, repensé, et que les vrais enjeux de Montpellier se situent dans un centre-ville, dans un Ecusson qui a été abandonné depuis près de 40 ans.

Montpellier, au temps du déclassement

Certes les temps ont changé… Montpellier, la capitale d’une région Languedoc-Roussillon a été déchue, elle n’est plus aujourd’hui qu’un chef-lieu départemental, la capitale du département de l’Hérault, un département, osons le dire, pauvre. Osons utiliser les mots justes, des mots que nos gestionnaires actuels ne veulent pas utiliser. Osons dire que Montpellier est déclassée… Osons dire qu’au sein de la nouvelle organisation régionale, Montpellier est une ville comme une autre. Certes une ville plus grande, avec une préfecture, mais rien de plus réellement que Nîmes ou Perpignan.

Les atouts du territoire sont pourtant immenses, invraisemblables. Il suffirait pour que Montpellier retrouve sa place dans sa région immédiate, qu’elle renoue des partenariats solides avec des villes qui se sont éloignées d’elles. Pour cela, il faudrait qu’elle retrouve un vrai projet, et peut-être que de façon humble, ses édiles se penchent sur ses réels problèmes et valorisent ses potentiels. Les potentiels on les connaît, son université, sa matière grise comme se plaisait à répéter, fort justement, Alex Larue, pour qui j’ai une grande amitié, durant sa campagne. Parmi les autres potentialités, sa localisation est un atout majeur. Elle en fait un espace de rencontres, un carrefour, un lien entre l’Espagne et Marseille et dont au fil de l’histoire ses habitants ont su tirer profit. Que serait aujourd’hui Montpellier si elle n’avait pas été ce creuset intellectuel où se concentraient les savoirs des siècles ? Où son université, notamment sa faculté de médecine, ainsi que celle de droit, a puisé son excellence, qui valent à notre ville d’être universellement reconnue à l’étranger ?

Montpellier, ville rentière, sans industrie, a construit un rapport original, presque constitutif de son essence avec les campagnes environnantes et les terroirs voisins. Elle a su tirer, depuis le 14ème siècle et surtout durant le 19ème siècle viticole, sa richesse de l’exploitation des terres agricoles des communes voisines qui forment aujourd’hui son agglomération. C’est ce lien indéfectible entre la ville-centre et les villages périphériques qu’il faut renouer, le tout dans un dialogue harmonieux. Mais encore faut-il le vouloir. Pour cela, il faut de l’humilité, une vertu à laquelle dans notre Languedoc florentin nous ne sommes pas forcément habitués.

Je ne ferai pas de politique dans ce texte… Mais simplement, je suis lassé de ces querelles permanentes qui s’expriment de façon violentes dans les conseils d’agglomération, ou de ces petites phrases assassines à l’adresse de la présidente de région. Les guerres picrocolines appartiennent au 16ème siècle, à un temps où Rabelais s’amusait à créer les personnages de ses écrits en singeant le caractère de ses contemporains montpelliérains.

Regagner le centre-ville

De même, Repenser le centre-ville, dans une logique globale, et non pas en travaillant sur un simple trio d’espaces vitrine, formé de la Comédie, de l’Esplanade et du Triangle, est devenu une nécessité. La ville est une globalité dont il faut saisir les cohérences et les pertinences de ces cohérences. Pendant près de quarante ans, parce qu’il était nécessaire d’équiper la ville, « ruban bleu de la démographie, le centre-ville a été délaissé. Il fallait construire des écoles, créer des voies et des réseaux d’assainissement et pour cela, faute d’argent, car ne l’oublions, notre ville n’est pas une ville riche, on a oublié l’Ecusson. Les rues s’y sont détériorées, le mobilier urbain s’est fané, a jauni. On a fait des réparations qui ont été érigées au rang de travaux homériques, à l’image de ceux de la Grand-rue Jean Moulin. Deux ans de travaux furent nécessaires. Il les fallait bien. Mais au final ce n’est qu’un revêtement supplémentaire ajouté aux 31 autres qui émaillent de leur variété les rues de notre ville. A quand un plan de cohérence de revêtements de la voirie du centre-ville ? et une programmation des travaux à conduire sur la voirie urbaine ? Il nous a fallu batailler pour arrêter les bennes à bitume que l’on déversait du mois de décembre jusqu’à janvier avec une précipitation… On est arrivé à bloquer les travaux… On peut se vanter d’avoir un exceptionnel patrimoine architectural des 17 et 18ème siècles, mais sans mise en valeur et sans cohérence d’une action programmée sur plusieurs années, voire même dizaines d’années, on sera toujours, ainsi que le disaient les auteurs du 18ème siècle face à une ville dont on ne distinguera pas les beautés et la physionomie.

Au delà de ça, se posent d’autres questions. Comment redonner son importance au centre-ville si les montpelliérains ont peur de s’y rendre ? ou n’éprouvent pas même l’envie de s’y rendre. C’est un travail de fond à mener. Repenser les liaisons entre le Peyrou – dont on ne peut que se satisfaire de l’intérêt porté par l’actuelle municipalité même si je resterai éternellement attristé de la disparition des calades devant les escaliers des allées basses – et la Comédie nécessite de redécouvrir les liaisons, engager des travaux de façon prioritaire sur la rue Foch, la place des Martyrs de la Résistance, qui plus que la Comédie est dangereuse, la rue de la Loge et la rue Maguelone. Cela impose d’inscrire dans sa réflexion la question des mobilités, et de l’accès au centre-ville. D’autres que moi ont des solutions plus pertinentes que ce que je pourrais apporter.

Reconstruire l’identité de Montpellier

Au-delà de cette réflexion sur le centre-ville, se pose en trame celle de l’identité. Il est nécessaire de regagner l’âme de la ville, qui est celle que nous aimons arpenter, de cette ville qui était décrite au début du 20ème siècle comme l’égale d’Aix ou d’Avignon, et était considérée comme une des Trois Grâces du Sud.

Aujourd’hui, en tant que montpelliérain, natif de cette ville, j’ai quelques difficultés à m’y retrouver. Mon interrogation permanente est de savoir ce qui sous-tend et ce sur quoi repose l’identité de notre ville ? Historiquement, les communautés allaient puiser leurs références dans une petite histoire locale qui sécrétait ses propres mythes et ses figures à qui elle finissait par s’identifier. Les Guilhem, seigneurs entreprenants, Jacques Cœur, financier d’envergure, Rabelais, Rondelet, scientifiques et troublions, Cambon, Cambacérès, figure majeure de la magistrature de Montpellier puis le cardinal de Cabrières, pour les royalistes et Gariel pour les rouges, formaient un panel de références locales, au même titre que 1622 et le siège de Montpellier, la révolte du milieu du 12ème siècle, 1907…

Georges Frêche pourrait également être considéré comme un de ces mythes, et peut-être un des plus présents, structurant actuellement l’identité de Montpellier. Son influence est encore forte, c’est une évidence. Le projet de ville qu’il avait créé pour Montpellier, avec Raymond Dugrand, c’est-à-dire rejoindre la mer, structure encore la réflexion de ceux qui prétendent parler au nom des montpelliérains. Sa force de communication, sa faconde, et sa propension à occuper l’espace public, tant en volume qu’en verbes, empêche peut-être de se poser la question de la culture et de l’identité locale. Montpellier, qui veut jouer dans la cour des grands, qui communique à l’envie, ‘cette ville où le soleil ne se couche jamais’, selon une maxime aujourd’hui bien célèbre, est-elle condamnée à être une ville où l’identité locale se recrée en permanence. J’ai entendu, en commission « brainstorming » municipale,  que Montpellier était une San Francisco du Sud, une ville où tout était possible, celle de la créativité sans limite… mais également une ville dont la culture était justement celle de l’instant et de celui qui la raconterait… Je ne vous cache pas que cette formulation me dérange… Une ville puise ses racines dans son territoire, et dans son histoire. Ses rues tortueuses en sont le témoignage, son architecture devrait la raconter…

Et c’est en cela que l’architecture des quartiers neufs, notamment ceux autour de Port Marianne, ne me fait pas rêver, loin de là. Elle raconte la faiblesse de notre identité car elle est similaire à ce que l’on pourrait trouver dans les zones d’extension du nord de l’Europe, ou dans toutes les grandes villes à ambition métropolitaine. Rien de local, des volumes qui cherchent à raconter l’intégration de Montpellier à une élite des villes, de ces métropoles sans visage, banalisées… où le centre-ville n’est pas qu’un élément de valorisation des programmes portés par le marché immobilier…

L’identité de la ville de Montpellier serait cette ville qui se veut une cité conquérante sur les territoires avoisinants, gloutonne de territoires verts, et n’offrant que de la communication, ce terme inventé dans les années 80 pour vendre des projets tout autant que des produits… Certains diront que mon discours est un discours périmé, d’un autre âge. Je peux en convenir… Mais qu’ils me disent alors ce qui structure aujourd’hui l’identité de Montpellier ! Je serais bien curieux de savoir ce qu’ils me proposeraient et qui serait en mesure de me convaincre. Pour finir je rajouterai que sans récit, une ville ne saurait se construire harmonieusement, ce n’est pas moi qui le dit, d’autres l’ont dit et le disent… Alors quel est votre récit de cette ville de Montpellier ?

Au final, la question principale est de savoir ce qui vous rend fiers de vous dire montpelliérain… Quelles ambitions voulez-vous pour votre ville ? Quel projet et quelles cohésions pour la ville de demain ?

0
FacebookTwitterPinterestEmail
Fabrice Bertrand

Historien, géographe, passionné par le patrimoine de son Languedoc natal, Fabrice Bertrand anime depuis janvier 2016 avec Loïc Vannson le groupe facebook "Montpellier, patrimoine, histoire et souvenirs" où il partage avec le plus grand nombre ses découvertes.

Publications précédentes
L’Etat sanitaire de Montpellier en juin 1897
Publication suivante
Max Leenhardt (1853-1941), peintre de Montpellier

1 commentaire

Jean de la Lune 29 juin 2020 - 12 h 13 min

Article de fond, de réflexion : Bravo: c.est si rare. Il me semble que beaucoup de villes souffrent d’une identité fictive, artificiellement mise en avant pour se glorifier vainement, sans lien réel avec ce qu’elles sont devenues dans la réalité moderne, leur nouveau tissu social, leurs nouvelles liaisons et rapports aux autres. Montpellier n’est pas la seule à pâtir de ce problème, mais son extension rapide et incohérente y rend sans doute cruciale cette question. Le centre historique en est un élément-clé, mais il ne peut servir en ce sens que si le mythe que l’on construit autour de lui ( les identités sont toujours mythiques) se pense en relation aux besoin réels des nouveaux habitants. Et je trouve assez opportun de baser sa recherche autour de l’histoire de l’université, de sa richesse intellectuelle et de son ouverture séculaire au monde. On se débarrasserait d’un nombrilisme frêchien de clocher, et on prendrait en compte un remarquable brassage des cultures, des savoirs, et des populations qui Se suffit à lui-même sans nul besoin de se sentir plus important que ses « rivaux ». La richesse de notre patrimoine en reprendrait une signification ouverte et riche, sans ce côté muséal cantonné à une esthétique et un passéisme insignifiant.

Répondre

Rédiger un commentaire Annuler la réponse

Save my name, email, and website in this browser for the next time I comment.

Vous aimerez également

L’Etat sanitaire de Montpellier en juin 1897

Les belles-mères et leurs tendres caresses.

Au théâtre ce soir : les chapeaux sont...

Articles récents

  • Avant le Père-Noël, les étrennes de janvier : une histoire de Rome à Montpellier
  • Les commerces de Montpellier
  • La légende de la comtesse de Cabrières et de la clairette…
  • L’hôtel de la Monnaie de Montpellier
  • Alire Raffeneau Delile, directeur du Jardin des Plantes de Montpellier (1778-1850)

Archives

  • janvier 2021
  • décembre 2020
  • novembre 2020
  • septembre 2020
  • juillet 2020
  • juin 2020
  • mai 2020
  • avril 2020
  • mars 2020
  • février 2020
  • janvier 2020
  • décembre 2019
  • novembre 2019
  • octobre 2019
  • septembre 2019

Newsletter

Inscrivez-vous ici pour rester informé de nos actualités

Catégories

  • A une heure de Montpellier (3)
  • Architecture contemporaine (1)
  • Architecture médiévale (1)
  • Bâtiments publics (1)
  • Edifices religieux (3)
  • Ephémeride Brève du jour (7)
  • Folies / Châteaux (2)
  • Gastronomie montpelliéraines (1)
  • Hôtels particuliers (2)
  • Montpellier en images anciennes (1)
  • Montpelliérains célèbres (13)
  • Non classé (11)
  • Patrimoine architectural (7)
  • Patrimoine artistique (2)
  • Patrimoine culturel (7)
  • Patrimoine naturel (1)
  • Petite histoire de Montpellier (17)
  • Retours d'archives (5)
  • Retours de librairies (2)
  • Sculpture (3)
  • Traditions montpelliéraines (6)

Nous suivre sur les réseaux sociaux

Si vous avez de nous retrouver sur nos différents réseaux sociaux, voilà les liens de nos différents supports.

Facebook Twitter Email RSS

Dernières publications

  • Avant le Père-Noël, les étrennes de janvier : une histoire de Rome à Montpellier

    2 janvier 2021
  • Les commerces de Montpellier

    25 décembre 2020

A propos de nous

Passionnés par l'histoire et le patrimoine du Languedoc méditerranéen où nous puisons nos origines, nous ...

@2019 - All Right Reserved : Montpellier-histoire-patrimoine.com