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Les fêtes en l’honneur de Jacques d’Aragon, 2 février 1908

Par Fabrice Bertrand 2 février 2020
Article rédigé par Fabrice Bertrand 2 février 2020

Jacques d’Aragon est, sans contestation possible, le plus illustre des enfants de Montpellier. Qu’on l’appelle Jacme, selon la prononciation occitane, Jaume en catalan, Jaime en castillan et Chaime en aragonais ou encore Jacobus en latin, il n’en reste pas moins celui qui porta le plus loin le nom de Montpellier où il était né le 2 février 1208.

700 ans plus tard, les montpelliérains, les catalans et le peuple d’Espagne rendaient hommage à celui dont les titres s’égrainaient comme autant de témoignage de sa puissance. Il est en effet Roi d’Aragon, comte de Ribagorce, comte de Barcelone, comte de Gérone, comte d’Osana, comte de Belasù, comte de Pallar Jussà. A ces titres ibériques, se rajoutaient ceux de seigneur de Montpellier et de baron d’Aumelas, qui le rattachaient à notre Languedoc. Ils furent complétés par les titres de comte d’Urgell, avant d’être complétés par de nouvelles dignités royales avec les titres de roi de Majorque et de Valence et de s’ancrer puissamment en Roussillon et en Cerdagne, en rappelant que depuis 1241, Jacme en était devenu le comte protecteur… Laissons le journaliste du « Petit Méridional » narrer cette célébration :

« Aujourd’hui, 2 février, la Catalogne, l’Aragon, les Iles Baléares, le Roussillon, la Cerdagne et toute la partie du Languedoc qu’on désignait autrefois sous le nom de seigneurie de Montpellier, célèbrent dans le chef-lieu de l’Hérault, le VIIème centenaire de Jacques Ier d’Aragon, le Conquistador.

Jacques, roi d’Aragon

Le 1er février 1208 naissait, en effet, à Montpellier, de Marie, fille unique et héritière du dernier des Guilhems, comte de Montpellier, et de Pierre II d’Aragon, un enfant qui, dès ses premières années, semblait être voué à l’infortune, devait connaître l’abandon, la défaite, l’exil et la captivité, et qu’une volonté persévérante devait plus tard rendre un des monarques les plus puissants de l’Europe du treizième siècle. Jayme ou Jacques Ier d’Aragon n’avait pas six ans, lorsque son père périt les armes à la main à la bataille de Muret (1213) en soutenant contre Simon de Montfort, les droits de Raymond IV, alors comte de Toulouse.

La couronne semblait irrémédiablement perdue pour lui. Or, 30 ans après, le minuscule royaume d’Aragon était devenu, grâce aux conquêtes de Jacques Ier, un grand Etat s’étendant sur les deux versants des Pyrénées-Orientales et le long des côtes méditerranéennes, ayant pour limites le territoire de Valencia au Midi et celui de Montpellier au Nord.

La nationalité catalane était fondée : le même système de lois et d’ordonnances s’appliquait aux populations diverses, réunies sous le sceptre des rois d’Aragon et réglait non seulement leur vie privée, mais la vie publique de leurs cortès ; des franchises communales étaient accordées aux principales villes ; bref, le pays, dans ces temps troublés du Moyen-âge, jouissait d’une tranquillité relative, et grâce aux bienfaits d’une administration prudente et éclairée, prospérait merveilleusement.

Les fêtes actuelles

C’est pour rendre une nouvelle fois hommage aux qualités du roi défunt il y a sept siècles que s’assemblent dimanche, à Montpellier, les délégués des provinces d’origine catalane, auxquels se joignent les félibres et le capoulié, porteur de ‘Coupo » de le paladium sacré de l’union des races latines, offert par les patriotes catalans aux félibres de Provence et Languedoc.

On connaît les noms et les qualités des délégués espagnols. Ils sont venus de Barcelone délégués de la Ayuntament de la députation provinciale, du Consistoire des jeux floraux de la Lliga regionalista, de l’Institut, d’Estudis catalans, de l’Académie de bonnes lettres, de l’associatio catalana d’estudians ; ils sont venus de Tarragone où est le tombeau de Jacques, ils sont venus de Saragosse et de Gérône, de Valence et des Iles Baléares, élus du peuple ou savants, maîtres en « gai sçavoir » ou philosophes, tous désireux de fêter, à Montpellier, le fondateur de l’unité catalane. en traversant la frontière ils n’ont pas oublié avant de mettre le pied sur le sol de France, de saluer le pays où ils reçoivent une hospitalité de quelques heures, soit en adressant des télégrammes du Comité, soit comme l’a fait la Commission municipale de Saragosse, en télégraphiant au président de la République. Et, en son nom, le secrétaire de la Présidence a prié le Préfet de transmettre aux membres des délégations ses sincères remerciements et de leur faire savoir que « le chef de l’Etat avait été très sensible à leur précieuse attention. »

La Tour des Pins

La partie principale des fêtes a consisté en le dépôt de fleurs, accompagné de discours, au pied de la Tour des Pins et une séance littéraire et musicale.

La Tour des Pins, qui est presque contemporaine de la naissance de Jacques d’Aragon, s’élève en face le Jardin des Plantes et elle est presque la seule qui subsiste des vingt-cinq tours garnissant autrefois l’enceinte de la ville, laquelle était couronnée de 1757 créneaux et percée de onze portes. La tour a conservé son aspect du Moyen-âge, la moitié inférieure n’est pas antérieure à 1206 – Jacques d’Aragon est né en 1208 – la tour fut achevée peu de temps avant l’année 1407.

La moitié inférieure est construite en pierres coquillières de couleur jaunâtre, taillées en bossage, dont les assises sont de hauteur égale. La moitié supérieure est construite en pierres beaucoup moins chargées de coquilles, de couleur plus blanche, taillées d’une façon plane et dont les assises sont de hauteur inégale.

Le dessin de Marius Avy – un montpelliérain – que nous donnons ci-contre représente la Tour telle qu’elle était en 1850. On constatera qu’elle présente une physionomie qui se rapporte beaucoup de celle des remparts d’Avignon datant du 14ème siècle.

Les délégués catalans ont pu remarquer avec intérêt les traces des boulets que les royaux distribuèrent si libéralement pendant le siège de 1622 ; les balles des religionnaires et des catholiques avaient déjà labouré les antiques murailles, notamment en 1569 et 1577.

Curieux dépôt d’archives

La Tour des Pins, dénommée ainsi à cause des pins qui couronnent son faîte, était appelée aux 12e et 13e siècles  » Tour de Chauchane », a été aménagée en dépôt d’archives.

Une visite rapide y fait voir le modèle du vaisseau de ligne de 80 canons, « la Septimanie » offert au roi le 26-11-1761 et donné à la ville en 1784 par les Etats du Languedoc ; la maquette des échafaudages du pont de lavaur (Tarn) construit de 1773 à 1779 par Jean Chauvet, père, architecte et entrepreneur des travaux de la Province de Langeudoc, originaire de Montpellier ; la maquette du Pont Neuf de Béziers ; le modèle du premier appareil du 3/6, d’Edouard Adam ; la main droite de la statue de Louis Louis XVI, érigée en 1829 sur la place des Capucins et abattue en 1831, l’inscription commémorative de la proclamation de la Constitution française à Montpellier, le 2 octobre 1791 : les inscriptions des premières pierres de la Halle au poisson (1747) et de la statue de Louis XVI (1819) et les cuivres des trois anciens plans de Montpellier et d’un ancien plan du bois de Valène.

Deux des salles de la Tour des Pins ont été pourvues de vitrines, destinées à recevoir un petit musée paléographique, diplomatique et sigillographique. Ce musée est toujours à l’état de projet.

A l’extérieur de la Tour, sur la face dominant le boulevard Henri IV, une inscription commémorative de Jacques le Conquérant, roi d’Aragon et seigneur de Montpellier, a été placée en 1890, à l’occasion du congrès international de philologie, qui suivit les grandes fêtes du 6e centenaire de notre université.

De la mairie à la Tour

Dès 9h 1/2, ce matin, la place de la mairie présentait une animation inaccoutumée ; à 10h, les délégations étant au complet, le cortège se forme, précédé par le drapeau de la Catalogne, dont la soie jaune est coupée de huit bandes rouges.

Par la rue Nationale, le pont du Peyrou, les boulevards du Peyrou et Henri IV, le cortège, auquel de nombreux curieux sont venus se joindre, arrive devant la Tour des Pins, tandis que la musique du 81ème, massée devant l’Institut de Physique et Chimie – et à l’abri du vent glacé qui souffle rageusement et qui a contraint, ainsi que la nouvelle de la mort du roi Don Carlos, la réalisation du programme de ce matin – la musique joue, après la « Marseillaise » des airs espagnols.

Un groupe compact se forme donc sur le trottoir composé des délégués espagnols, des membres du Comité, d’invités, de membres de la presse espagnole et locale.

La Tour des Pins, toute grise, se dresse, dominant de toute sa majesté sévère et triste le groupe franco-catalan.

La plaque de marbre blanc, sur laquelle, en lettres rouges, est gravée l’inscription dédiée à Jacques d’Aragon, se détache nettement, encadrée par une guirlande de feuillage où les couleurs espagnoles et tricolores se confondent.

Les discours

M. Léopold Carles, président du Comité prend le premier la parole ; en formules heureuses, il rappelle dans quelles circonstances fut apposée la plaque dédiée à Jacques d’Aragon, à la mémoire de qui, Français et Catalans, unis dans un même souvenir, déposent aujourd’hui une superbe couronne.

Sur la banderole qui la drape, aux couleurs catalanes, se lit en lettres d’or l’inscription suivante :

« AL REY EN JACME LE CONQUISTADOR »

M. Puig y Alfonso, député de Barcelone aux Cortès, prend alors la parole en espagnol ; l’orateur parle lentement, avec une grande facilité et une remarquable netteté : il salue les amis français unis à leurs camarades d’au-delà des Pyrénées dans un commun souvenir.

Il souhaite que cette union soit durable et France et Catalogne, éprises d’un même idéal de liberté et de justice, se rapprochent davantage.

Après un autre discours, des délégués vont à la cathédrale, puis le cortège se rend au théâtre.

Montpellier reçoit ses hôtes

Au foyer du Grand Théâtre, le maire, entouré des adjoints, des conseillers municipaux, du secrétaire général de la Préfecture, du général commandant le génie de la 16ème région, du procureur général, du recteur, du proviseur du lycée, des délégués de la Colonie espagnole de Montpellier, etc, reçoit nos hôtes.

Au moment où les délégués font leur entrée au Grand-Théâtre, la musique du 81ème d’infanterie attaque la « Marche royale d’Espagne » et la « Marseillaise ».

M. Briol, maire, salue les délégués de la Municipalité, du conseil municipal et de toute la population.

M. d’Abadal, sénateur ; Puy y Alfonso, adjoint au maire de Barcelone ; les délégués de Tarragone, Saragosse, d’Aragon, de Gérona et de Nicolao, représentant l’Association des étudiants de Barcelone, remercient, tout à tour, la municipalité et la ville du chaleureux accueil réservé aux Espagnols. Tous sont heureux de participer aux fêtes anniversaires du roi d’Aragon et terminent leurs discours par les crois de : « Vive Montpellier », « Vive Francia » ! »

M. Puy y Alfonso, au nom de la « Ciutad de Barcelona », donna l’accolade au maire de Montpellier, tandis que les assistants applaudissent et que la musique joue une marche espagnole.

Le champagne est alors servi et chacun lève sa coupe à l’union des deux nations soeurs, tandis que nous échangeons nos impressions avec les journalistes espagnols qui se montrent enchantés de leur voyage à Montpellier

A la salle des concerts

A la salle des Concerts du Grand Théâtre, a eu lieu cet après-midi, devant un nombreux public, une cérémonie littéraire et artistique.

La musique du 2ème génie, qui prêtait son concours, a attaqué, à l’arrivée des délégués espagnols, les hymnes royal et catalan et la Marseillaise. Ont successivement pris la parole MM. L. Carlier, Don Puy Alfonso, adjoint au maire de Barcelone ; Fournel, félibre ; Fédière, félibre, qui a lu une ode au roi d’Aragon, poésie languedocienne ; M. Joseph lacroix, qui a dit un conte humoristique sur la venue de Jacques d’Aragon » ; un étudiant catalan qui a lu une ode de Verdaguer, portant le salut de Barcelona à Montpellier ; M. Dévoluy, capoulié du Félibrige, M. Léon Combes, qui a lu une poésie en langue romaine du 13ème siècle « Salutz à Sen Jacme d’Aragon » dialecte de la seigneurie de Montpellier, etc.

La partie concert a été fort goûtée, comprenant des chants catalans et espagnols.

Le banquet

A sept heures du soir, un banquet par souscription a réuni les invités du Comité de Montpellier, ainsi que les délégués espagnols. La salle était décorée des drapeaux des deux nations. De même que les couleurs s’harmonisaient, les convives ont fraternisé dans les mêmes sentiments.

Dans ce milieu tout vibrant, des toasts ont été portés à l’union des races latines.

Puis les félibres catalans, languedociens et provençaux étant présents, le capoulié Dévoluy a levé la « Coupo Santo » en l’honneur des frères français et catalans, et le chant mistralien a éclaté sonore au milieu des vivats unanimes.

1908BarceloneFestivitésJacques d'AragonMontpellier
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Fabrice Bertrand

Historien, géographe, passionné par le patrimoine de son Languedoc natal, Fabrice Bertrand anime depuis janvier 2016 avec Loïc Vannson le groupe facebook "Montpellier, patrimoine, histoire et souvenirs" où il partage avec le plus grand nombre ses découvertes.

Publications précédentes
1 février 1908 : L’amitié entre Barcelone et Montpellier pour les fêtes du septième centenaire de la naissance de Jacques d’Aragon
Publication suivante
3 février 1880, revue de presse du Petit Méridional

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